Bonjour,
Quel honneur d'avoir préparé ardemment la conférence de presse prévue ce matin : un communiqué précis, traduit en cinq langues par des natifs dans la nuit. Une diffusion dès le lendemain dans toute l'Europe.
Résultat : rien. La conférence de presse s'est déroulée sans la presse.
Nous avons pourtant l'habitude de mettre sur la place publique des sujets sensibles, que ce soit sur le Levothyrox contre MERCK (le plus vieux laboratoire pharmaceutique au monde) ou encore sur Linky contre le groupe EDF (leader mondial du nucléaire).
Mais à ce stade - en dépit de la diffusion internationale de l'information en cinq langues, en dépit de l'urgence de ce débat public sur un passeport vaccinal qui doit être voté dans moins de 14 jours par le Parlement Européen - rien.
Plus étonnant, la publication de la pétition - sous la forme d'une tribune signée par des juristes de renom, des scientifiques, des parlementaires - a été annulée au dernier moment par le Nouvel Obs. Dès que possible, nous vous transmettrons cette tribune, publiée ailleurs.
Il était de notre devoir de vous en prévenir. Il n'était pas question de cacher cette difficulté. En ces temps difficiles pour le droit, pour le débat public et pour la démocratie, nous devons adapter la stratégie.
Le ton monte actuellement dans toute l'Union Européenne, y compris à l'intérieur des institutions, contre le tour de force du passeport sanitaire. Ce sera une atout pour la suite.
Pour notre part, afin d'accélérer le projet “Déjà-vu”, nous avons abaissé le seuil déclenchant la demande amiable à 50.000 pétitionnaires. Dans quelques jours, vous aurez accès au dossier juridique correspondant.
Entretemps, la transmission directe d'informations, y compris par vous, Christophe, est déterminante : n'hésitez pas à partager la pétition.