AIRBAG TAKATA - pourquoi agir en justice même si les airbags ont été changés ?


La crise des airbags Takata constitue l’un des plus graves scandales industriels récents, impactant fortement les automobilistes français et la sécurité publique.




En France, plus de 2,5 millions de véhicules sont concernés par des campagnes de rappel, dont 1,7 million soumises à une interdiction de rouler (« stop drive »). De nombreux propriétaires de Citroën C3, DS3, et autres modèles du groupe Stellantis ainsi que d'autres grandes marques se retrouvent face à des risques majeurs de blessures ou de décès liés à l’explosion d’airbags défectueux, ce qui a conduit à plusieurs accidents mortels.

Face à l’ampleur du préjudice, l’action collective conjointe au pénal portée par la plateforme MyLeo  et Maître Christophe Lèguevaques, avocat au barreau de Paris, offre une voie légale sûre et structurée pour faire valoir ses droits et obtenir réparation dans le respect des règles déontologiques.
 
Situation française et chiffres clés
En France, plus de 30 marques et 130 modèles sont référencés comme équipés d’airbags Takata à risque. À la lumière des campagnes de rappel généralisées depuis mai 2024, près de 1,7 million de véhicules ont été immobilisés. Ces mesures font suite notamment à des accidents mortels, dont celui survenu à Reims en juin 2025 impliquant une Citroën C3. La liste officielle des véhicules concernés publiée par le gouvernement comprend, outre Citroën et DS, la quasi-totalité des grandes marques présentes en France.
 
 
Pourquoi rejoindre l’action pénale portée par MyLeo et Me Christophe Lèguevaques ?
Un collectif de consommateurs, réuni par MyLeo et défendu en justice par Me Christophe Lèguevaques et son équipe, a déposé une plainte pénale contre X pour mise en danger de la vie d'autrui et pratiques commerciales trompeuses, notamment à l’encontre de Stellantis, Citroën et DS.

Cette action vise non seulement l’obtention de réparations financières individuelles pour chaque plaignant, mais aussi la condamnation des responsables et la généralisation des rappels pour garantir la sécurité des propriétaires encore exposés.
À ce jour, plus de 2 800 propriétaires de CITROËN se sont déjà inscrits à l’action collective, accessible facilement sur la plateforme MyLeo.

« Après CITROËN, nous sommes en train d’étudier la possibilité d’étendre, courant automne 2025, l’action collective aux principales marques concernées par ce fiasco industriel ».

Christophe Lèguevaques

 
Comment rejoindre l’action collective ?
Toute personne possédant un véhicule concerné par les rappels Takata (Citroën C3, DS3, autres modèles identifiés) peut encore s’inscrire à l’action collective pénale sur la plateforme MyLeo, avec le soutien de Me Christophe Lèguevaques, pour solliciter à la fois une condamnation des responsables et l’indemnisation intégrale des préjudices subis.

En rejoignant cette action collective rigoureuse et encadrée, il est possible de défendre efficacement ses droits tout en contribuant à la sécurité routière, dans un strict respect des règles professionnelles et de l’éthique des avocats.
 




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